Pourquoi ma copine a mal pendant les rapports et comment l’aider
Ma partenaire a des douleurs pendant la pénétration
Quoi faire quand sa femme a mal
Ma partenaire a mal pendant la pénétration: Lorsque cela arrive, beaucoup d’hommes se sentent démunis, inquiets ou coupables. Certaines questions reviennent souvent, « Est-ce que je fais mal ? », « Est-ce que c’est moi le problème? », « Est-ce qu’elle ne me désire plus ». Ces situations sont difficiles à vivre pour le couple, mais il est important de comprendre que la douleur pendant les rapports sexuels n’est ni volontaire, ni dirigée contre le partenaire.
Pourquoi ma copine a des douleurs quand je la pénètre: Les douleurs à la pénétration sont fréquentes chez les femmes et peuvent apparaître à différents moments de la vie, après un accouchement, à la suite de douleurs répétées, d’infections, de traumatismes du bassin, d’interventions chirurgicales ou encore sans cause médicale clairement identifiable. Dans de nombreux cas, le corps de la femme réagit par un mécanisme de protection involontaire qui rend la pénétration douloureuse malgré l’envie, l’amour ou le désir pour son partenaire.
Pour l’homme, cette situation peut être déroutante. Certains essaient de rassurer, d’insister doucement, de changer de rythme ou au contraire d’éviter toute pénétration. Pourtant, sans compréhension des mécanismes en jeu, ces tentatives peuvent parfois aggraver la douleur ou renforcer la peur de la pénétration.
Il est essentiel de savoir que ce n’est pas une question de faute, ni pour l’homme ni pour la femme. La douleur est un signal corporel, souvent lié à une tension musculaire, une mémoire douloureuse ou une insécurité installée avec le temps. Dans certains cas, ces douleurs peuvent également s’inscrire dans un vaginisme partiel ou débutant où le corps se contracte automatiquement pour se protéger.
Cette page a pour objectif d’aider les hommes à comprendre pourquoi leur partenaire a mal lors de la pénétration, à savoir quoi faire et quoi éviter et à découvrir comment un accompagnement adapté peut soulager durablement ces douleurs, tout en préservant la relation, l’intimité et la sexualité du couple.
Pourquoi ma partenaire a mal quand je la pénètre?
Lorsque sa partenaire a mal pendant la pénétration, cela peut avoir plusieurs origines qui sont souvent combinées. Il ne s’agit pas simplement d’un problème de lubrification ou de « compatibilité », mais d’un fonctionnement corporel et « nerveux » plus global.
Chez certaines femmes, les douleurs apparaissent après un accouchement, une épisiotomie, des douleurs répétées lors des rapports, une infection, une intervention chirurgicale, de traumatismes du bassin ou de pathologies. Dans d’autres cas, les examens médicaux sont normaux mais la douleur persiste malgré tout.
Le plus souvent, le corps de la femme réagit par un mécanisme de protection involontaire. Face à une anticipation de douleur ou à une expérience passée négative, les muscles du plancher pelvien se contractent automatiquement, la respiration se bloque et le système nerveux passe en état d’alerte. La pénétration devient alors douloureuse, même lorsque le désir est présent.
Il est aussi important de distinguer:
- Les douleurs profondes ou dyspareunies, ressenties à l’intérieur du bassin, souvent liées à des tensions musculaires, posturales ou à certaines pathologies
- les douleurs à l’entrée du vagin, ressenties dès l’intromission du pénis, parfois associées à une vulvodynie ou à une forme de vaginisme partiel, où le corps se ferme pour se protéger.
Dans tous les cas, la douleur n’est ni volontaire, ni consciente. Elle n’est pas dirigée contre le partenaire mais correspond à une réaction automatique du corps face à une situation perçue comme insécurisante.
Est-ce de ma faute si elle a mal durant la pénétration?
Non. Dans l’immense majorité des cas, la douleur de sa partenaire n’est pas de la faute de l’homme. Elle ne signifie ni que l’homme fais mal intentionnellement, ni qu’il est un « mauvais amant », ni que sa partenaire ne le désire plus ou présente un trouble du désir.
En revanche, le contexte relationnel et sexuel peut parfois influencer la douleur, souvent de manière involontaire. La pression de devoir réussir la pénétration, l’insistance même bienveillante, la peur de frustrer l’autre ou l’objectif « il faut que ça passe » peuvent augmenter l’anxiété et renforcer les tensions corporelles chez la femme.
Beaucoup d’hommes cherchent à aider en rassurant, en accélérant, en changeant de position ou en insistant doucement. Malheureusement, ces tentatives peuvent parfois accentuer le réflexe de protection du corps, alors que la douleur a surtout besoin de sécurité, de lenteur et d’absence de pression.
Comprendre que l’homme n’est pas responsable de la douleur, tout en acceptant que sa manière d’aborder la situation peut aider ou freiner l’apaisement, est une étape essentielle. Cela permet de sortir de la culpabilité, d’éviter les malentendus et de construire ensemble une approche plus respectueuse du corps et du rythme de sa partenaire.

Que vit une femme quand la pénétration est douloureuse?
Quand la pénétration est douloureuse, la femme ne vit pas seulement une douleur physique. Elle traverse souvent un mélange de peur, de tension, de culpabilité et de découragement. À force d’avoir mal, le corps apprend à anticiper la douleur, parfois bien avant le rapport lui-même. L’intimité, qui devrait être un moment de plaisir et de rapprochement, devient alors une source d’angoisse.
Beaucoup de femmes essaient de se forcer, de « tenir » ou de faire abstraction de la douleur pour ne pas décevoir leur partenaire. D’autres, au contraire, évitent progressivement la pénétration, voire toute intimité, par peur de souffrir à nouveau. Dans les deux cas, la douleur finit par s’installer dans le cercle vicieux peur → tension → douleur → nouvelle peur.
Douleurs à l’intromission et vaginisme partiel:
Chez certaines femmes, la douleur apparaît dès l’entrée du vagin, au moment de l’intromission du pénis. Elle peut se manifester par une brûlure, une sensation de coupure ou une douleur immédiate. Dans ces situations, les muscles du plancher pelvien se contractent involontairement pour se protéger.
On parle alors parfois de vaginisme partiel ou de douleurs d’intromission. La pénétration est possible, mais difficile, douloureuse ou vécue avec une forte appréhension. Le corps n’est pas « bloqué » mais il reste en hyper-vigilance, ce qui suffit à provoquer la douleur.
Quand la pénétration devient impossible: le vaginisme
Dans d’autres cas, la contraction musculaire est telle que la pénétration devient impossible, même avec beaucoup de douceur. C’est ce que l’on appelle le vaginisme. La femme peut alors ressentir une fermeture complète du vagin, sans pouvoir la contrôler, malgré l’envie, l’amour ou le désir pour son partenaire.
Il est important de comprendre que ce blocage n’est ni volontaire, ni conscient. Il s’agit d’un réflexe de protection du corps, souvent installé après des douleurs répétées, une peur intense ou une insécurité profonde. Plus la femme se sent pressée ou en échec, plus le corps se défend.
À retenir: ce que l’homme doit comprendre
Qu’il s’agisse de douleurs à l’intromission, de vaginisme partiel ou de vaginisme complet, la femme ne « refuse » pas son partenaire. Son corps exprime une difficulté à se sentir en sécurité dans la pénétration. Comprendre ce vécu permet à l’homme de ne pas interpréter la douleur comme un rejet et d’adopter une attitude plus aidante et respectueuse.
Ma copine a mal quand je la pénètre, que faire?
Lorsque sa partenaire a mal pendant la pénétration, la première chose à faire est de sortir de l’objectif de pénétration à tout prix. Vouloir absolument « que ça marche » ou « que ça passe » augmente souvent la pression et renforce le mécanisme de protection du corps.
La priorité est de rétablir un climat de sécurité. Cela passe par une écoute réelle sans minimiser la douleur ni chercher à la résoudre immédiatement. L’homme doit montrer qu’il la croit, qu’il respecte ses limites et que la pénétration n’est pas une obligation. Cela permet déjà de diminuer une partie de la tension corporelle.
Concrètement, ce qui aide souvent:
- Ralentir fortement le rythme et enlever toute urgence
- Mettre la pénétration de côté temporairement, sans que cela soit vécu comme un échec
- Privilégier les moments de contact, de caresses, de proximité, sans attente précise, pratiquer le « Sensate Focus »
- Rester attentif à sa respiration et à ses réactions corporelles
- Accepter de s’arrêter dès que la douleur apparaît, sans insister
Il est également important de ne pas interpréter la douleur comme un rejet. Dans la grande majorité des cas, sa partenaire a mal malgré l’envie, le désir et l’attachement. Son corps réagit de manière involontaire, souvent par peur ou anticipation de la douleur.
À retenir:
Aider sa partenaire, ce n’est pas « trouver la bonne technique » mais être un allié. Enlever la pression, respecter son rythme et accepter de chercher de l’aide ensemble si nécessaire, c’est participer activement à la diminution des douleurs et à la reconstruction d’une sexualité plus sereine.
Le partenaire aide en diminuant la pression, en favorisant la détente et en maintenant un lien sécurisant. Dans ce cadre, les solutions thérapeutiques dont l’hypnose et la sexothérapie corporelle peuvent ensuite être plus efficaces.
Ma partenaire a des douleurs à la pénétration: que faut-il éviter de dire et de faire?
Quand une femme a des douleurs à la pénétration, certaines paroles ou attitudes, même bien intentionnées, peuvent aggraver la situation en renforçant la peur, la tension corporelle et le sentiment d’insécurité. Savoir quoi éviter est aussi important que savoir quoi faire.
1. Éviter de minimiser ou de relativiser la douleur: Des phrases comme « Ça va passer« , « Détends-toi« , « C’est dans ta tête » peuvent être très blessantes. Elles donnent le sentiment que la douleur n’est pas prise au sérieux alors qu’elle est bien réelle et vécue dans le corps.
2. Éviter d’insister pour la pénétration: Même avec douceur, insister ou tenter « encore un peu » renforce le réflexe de protection du corps. Plus la femme se sent poussée, plus les muscles se contractent et plus la douleur risque d’augmenter.
3. Éviter de prendre la douleur comme un rejet personnel: Interpréter la douleur comme un manque de désir, un désintérêt ou un rejet du partenaire est fréquent, mais faux dans la majorité des cas. Cette interprétation crée de la pression émotionnelle supplémentaire et peut enfermer le couple dans des malentendus.
4. Éviter de chercher une solution immédiate ou technique: Vouloir absolument « réparer », changer de position à répétition ou trouver la « bonne méthode » peut maintenir l’idée que la pénétration doit absolument avoir lieu. Or, la priorité est la sécurité et non la performance.
5. Éviter de se taire ou d’éviter toute intimité: À l’inverse, ne plus rien dire, éviter tout contact ou supprimer complètement l’intimité par peur de faire mal peut renforcer la distance, la culpabilité et la solitude chez la femme comme chez l’homme.
À retenir:
Les douleurs à la pénétration demandent avant tout de la compréhension, du respect du rythme et de la patience. Éviter ces réactions permet déjà de diminuer une partie de la pression corporelle et émotionnelle, condition essentielle pour que la douleur puisse s’apaiser.

Votre partenaire a mal quand elle est pénétrée:
En Consultation à Montpellier et Téléconsultation en ligne, je prends en charge les douleurs à la pénétration avec une approche naturelle:
Sexo-éducation, sexo-corporel et sexo-fonctionnnel, hypno-sexologie et sexo-communication pour la relation
La téléconsultation est très simple, elle s’effectue directement sur votre smartphone ou tablette ou ordinateur avec le lien envoyé par mail.
Qu’est-ce qui peut aider ma partenaire à ne plus avoir mal lors de la pénétration?
Aider sa partenaire à ne plus avoir mal lors de la pénétration ne consiste pas à « faire autrement » mais à créer les conditions corporelles et émotionnelles qui permettent au corps de se relâcher. La douleur diminue rarement par la volonté ou la technique mais plutôt lorsque la sécurité, la lenteur et l’écoute remplacent la pression.
Diminuer l’intensité de la pénétration:
Lorsque la pénétration est douloureuse, ce n’est pas toujours le frottement qui fait mal, mais la profondeur ou l’intensité de ce qui entre dans le vagin. Dans ces situations, certaines solutions simples peuvent aider. Les anneaux péniens thérapeutiques peuvent, dans certains cas, être utilisés comme un outil de confort. Placés à la base du pénis, ils permettent de limiter la profondeur de pénétration en empêchant une entrée trop profonde ou trop brusque. Cela peut réduire les douleurs, notamment chez les femmes qui souffrent de douleurs profondes douleurs profondes ou qui ont besoin de retrouver progressivement une sensation de sécurité pendant la pénétration. L’objectif n’est jamais de « forcer » mais de redonner du contrôle et du confort, en adaptant la pénétration au ressenti de la partenaire.
Ralentir et enlever la pression
Ce qui aide le plus, dans de nombreux cas, c’est de réduire temporairement la place de la pénétration dans la sexualité permet souvent de désamorcer la peur. Redécouvrir d’autres formes d’intimité, sans objectif précis, aide à restaurer le plaisir et la confiance corporelle, conditions indispensables pour que la pénétration redevienne possible sans douleur. Pratiquer le « Sensate Focus » permet de redécouvrir le corps de chaque partenaire.
Créer un climat de sécurité
La douleur diminue lorsque la femme se sent crue, respectée et libre de s’arrêter à tout moment. Savoir que la pénétration peut être interrompue sans frustration ni reproche permet au corps de relâcher une partie de ses tensions de protection.
Lorsque la douleur est installée, un accompagnement adapté permet de travailler à la fois sur le corps, le système nerveux et la sécurité émotionnelle. L’hypnose et la sexothérapie corporelle associée à la rééducation périnéale permet d’agir sur les mécanismes profonds qui entretiennent la douleur.
Quand inciter sa partenaire à consulter pour des douleurs lors des rapports sexuels?
Il n’est pas toujours facile de savoir quand proposer à sa partenaire de consulter, surtout lorsque la douleur est un sujet intime et sensible. Pourtant, certaines situations indiquent qu’un accompagnement peut être bénéfique, autant pour la femme que pour le couple. Il est pertinent d’envisager une consultation lorsque:
- La douleur revient à chaque tentative de pénétration
- La pénétration devient de plus en plus appréhendée ou évitée
- La douleur persiste malgré des examens médicaux rassurants
- La femme commence à anticiper la douleur avant même le rapport
- La sexualité devient source de stress, de frustration ou de distance dans le couple
- La femme se force malgré la douleur ou, au contraire, évite toute intimité
Il est également important de consulter lorsque la douleur s’installe dans le temps. Plus une douleur est répétée, plus le corps apprend à se protéger automatiquement. Le risque est alors que le mécanisme de contraction et d’anticipation se renforce, rendant la pénétration de plus en plus difficile, voire impossible.
Consulter ne signifie pas que « quelque chose ne va pas », ni que la situation est grave. C’est souvent au contraire une façon de prévenir l’installation d’un cercle vicieux douleur → peur → tension → nouvelle douleur et de retrouver plus rapidement une sexualité apaisée.
À retenir:
Proposer de consulter en hypnose et sexothérapie corporelle est pertinent dès que la douleur devient un sujet récurrent, qu’elle génère de la souffrance ou qu’elle impacte la relation. Plus l’accompagnement est précoce, plus il est simple et efficace.
Comment lui proposer de consulter pour des douleurs à la pénétration sans la braquer?
Proposer à sa partenaire de consulter pour des douleurs à la pénétration demande de la délicatesse. La douleur touche à l’intime, au corps et parfois à l’image de soi. La manière d’en parler est souvent aussi importante que le fond.
La première règle est de ne jamais présenter la consultation comme une solution imposée ou comme un problème à « corriger ». Il est préférable d’aborder le sujet en parlant de son bien-être, de son confort et de la relation, plutôt que de la pénétration elle-même.
Il est souvent aidant d’utiliser des formulations simples et bienveillantes, par exemple « J’ai l’impression que ça te fait souffrir et ça me touche. Si on pouvait se faire aider ensemble, pour que tu te sentes mieux, qu’en penserais-tu ? ». Éviter les phrases qui peuvent être vécues comme accusatrices ou médicalisantes est essentiel. Dire « Tu devrais consulter » ou « Ce n’est pas normal« peut renforcer la peur ou le sentiment d’être « défectueuse » ou « anormale ». À l’inverse, souligner que ces douleurs sont fréquentes et qu’elles se soignent permet souvent de rassurer.
Il est également important de laisser du temps. La proposition peut être faite une fois, calmement, puis laissée mûrir. Revenir sans cesse sur le sujet ou insister peut provoquer un repli ou une résistance.
Enfin, montrer que la consultation n’est pas une démarche solitaire mais qu’elle peut s’inscrire dans une approche de couple, où chacun a sa place, aide souvent à lever les défenses. Le message essentiel à transmettre est « Tu n’es pas seule, et je suis avec toi dans cette démarche« .
À retenir
Proposer de consulter en consultation à Montpellier ou en téléconsultation en ligne sans braquer, c’est avant tout préserver la sécurité émotionnelle de son partenaire. Bienveillance, patience et absence de jugement sont les clés pour que cette démarche soit vécue comme une aide et non comme une remise en question.

Conclusion: Comment faire quand sa partenaire a mal quand elle pénétrée ?
Lorsque ta partenaire a mal pendant la pénétration, la situation peut être déroutante et éprouvante pour le couple. Pourtant, il est essentiel de retenir que la douleur n’est ni volontaire, ni dirigée contre le partenaire et qu’elle ne remet pas en cause l’amour, le désir ou la qualité de la relation.
La première étape consiste à sortir de la pression de la pénétration et à redonner la priorité à la sécurité, à l’écoute et au respect du rythme du corps. Comprendre les mécanismes de la douleur, éviter les attitudes qui l’aggravent et adopter une posture de soutien permet déjà de diminuer une partie des tensions corporelles et émotionnelles.
Dans de nombreux cas, les douleurs à la pénétration peuvent être soulagées durablement grâce à une prise en charge adaptée, intégrant le corps, le système nerveux et la dimension sexuelle. La rééducation périnéale, l’hypnose et sexothérapie corporelle permettent de travailler sur les mécanismes de protection, la mémoire corporelle et la confiance, afin de retrouver une sexualité plus sereine et plus confortable.
Aider sa partenaire, ce n’est pas chercher une solution immédiate, mais être un allié, capable d’accompagner, de respecter et de soutenir. Lorsque la douleur est prise en charge avec bienveillance et sans pression, il devient possible de reconstruire progressivement une intimité apaisée et épanouissante pour les deux partenaires.
FAQ pourquoi ma partenaire a des douleurs à la pénétration et que faire
L’hypnose et la sexothérapie corporelle peuvent-elles aider ma partenaire a ne plus avoir mal pendant la pénétration?
Oui. L’hypnose et la sexothérapie corporelle peuvent être très efficaces pour les douleurs à la pénétratio, surtout lorsqu’elles sont liées à des tensions involontaires, à une mémoire corporelle douloureuse, à la peur de la pénétration ou à un mécanisme de protection du corps.
Ces approches permettent d’apaiser le système nerveux, de relâcher les muscles du périnée, de restaurer un sentiment de sécurité et de modifier les automatismes qui entretiennent la douleur. En travaillant à la fois sur le corps, les sensations et les émotions, il devient possible de réduire durablement les douleurs et de retrouver une sexualité plus confortable et sereine.
Pourquoi ma partenaire a mal quand je la pénètre ?
Les douleurs à la pénétration peuvent être liées à des tensions musculaires, une mémoire corporelle douloureuse, une peur anticipée ou certaines causes physiques (accouchement, douleurs répétées, infections). La douleur est le plus souvent involontaire et n’est pas dirigée contre le partenaire.
Pourquoi ma copine a mal durant la pénétration alors qu'elle a envie?
Désir et détente corporelle sont deux mécanismes différents. Une femme peut avoir envie, mais rester tendue ou en insécurité, ce qui déclenche une contraction involontaire des muscles et rend la pénétration douloureuse.
Est-ce que c’est de ma faute si elle a mal pendant les rapports sexuels ?
Non. Dans l’immense majorité des cas, la douleur n’est pas causée par le partenaire. En revanche, la pression, l’insistance ou l’objectif de pénétration peuvent involontairement renforcer les tensions et la douleur.
Comment réagir quand sa copine a mal durant la pénétration ?
La meilleure réaction est d’abord de prendre la douleur au sérieux, sans la minimiser ni chercher à la « faire passer » à tout prix. Il est important de s’arrêter dès que la douleur apparaît, de respecter ses limites et de lui montrer qu’elle peut interrompre la pénétration sans crainte de décevoir.
Adopter une attitude calme, rassurante et sans pression aide le corps à se détendre. Éviter les remarques culpabilisantes, l’insistance ou l’objectif de pénétration permet souvent de réduire la peur et les tensions. Être à l’écoute, ralentir, privilégier la sécurité et accepter d’en parler ensemble sont des éléments clés pour aider sa partenaire face aux douleurs pendant la pénétration.
Dois-je arrêter complètement la pénétration si elle a mal durant le rapport ?
Mettre temporairement la pénétration de côté peut être aidant pour diminuer la pression et la peur. Cela permet souvent au corps de se détendre et d’éviter que la douleur ne s’installe durablement.
Comment puis-je aider ma partenaire quand elle a des douleurs à la pénétration?
En ralentissant, en respectant ses limites, en enlevant toute obligation de pénétration et en restant à l’écoute de ses ressentis. Le soutien, la patience et l’absence de pression sont essentiels.
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J’ai débuté l’hypnose en 2016 et je suis diplômé universitaire de 3ème cycle d’hypnose médicale de la faculté de médecine de Montpellier. Durant ce cursus, j’ai effectué de nombreuses formations dont la prise en charge en hypnose des troubles sexuels. Au même moment j’ai débuté diverses formations en sexologie – sexothérapie et progressivement je me suis formé en thérapie sexofonctionnelle, sur la communication de couple et la thérapie sexo-corporelle.
Je suis donc un professionnel de santé et de santé sexuelle qui prend en charge de façon globale les problèmes d’éjaculation précoce pour que vous soyez l’homme avec une sexualité épanouie.
J’estime que la santé sexuelle est une partie importante de votre santé en général, de votre bien-être, il est indispensable de traiter ses difficultés sexuelles dans toutes les dimensions; les dimensions physiques, émotionnelles, mentales et relationnelles.
Renseignements: 04 67 17 26 33
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